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Un pas drôle humoriste
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Harpographie



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MessagePosté le: 12/01/2014 19:45:23    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Voici un texte de Maître Yann Choucq au sujet de l'affaire : il a pour moi le mérité de rappeler les grands principes dans lesquels nous devrions vivre.

http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=32544&title=LA CENSURE…

A côté de cela, un dérapage (je mesure le mot) qui me donne la nausée :

http://7seizh.info/2014/01/12/nicolas-bedos-je-te-lenfonce-dans-ton-gros-cu…

Yann-Bêr
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stéphan lemoigne



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Messages: 1 377
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MessagePosté le: 13/01/2014 10:59:49    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Avec ou sans barbe, cet abruti de Nicolas Bedos m'insupporte de a à z....et avec lui tous ces ramassis de crétins qui font des émissions où il est de bon ton de rire, surtout quand c'est pas drôle, assis autour d'une table. Vous les avez vus se regarder les uns les autres du coin de l'oeil pour savoir s'il faut rire ou s'indigner. Et pourquoi toutes ces injures ? C'est insupportable, et ok avec toi YB, surtout la fin : c'est vrai que s'il avait dit : "dans ton gros cul de Camerounais inculte", là oui, on aurait dit que c'était une injure raciale. Vive "l'a-culture" parisinano-franchouillarde. Comme le disait Alan il y a pas mal de temps déjà : "nag ur blijadur  'vidomp Bretoned doc'h Bro-Ch'all boud staget !"
_________________
stéphan
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elihah



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Messages: 1 786

MessagePosté le: 13/01/2014 13:08:09    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Insupportables ces humoristes (lol, la belle excuse, voir plus bas) ou chroniqueurs qu'on voit partout(genre l'odieux zemmour) et qui pourtant protestent de leur invisibilité médiatique (re lol).
Le PasDieu-HélasDonné sévit depuis une petite dizaine d'années dans le sens qu'on sait, et la sphère média et politique s'en aperçoit maintenant...combien commode.
Il faut dire qu'après une droite 'décomplexée', le terrain est bien fertilisé pour accueillir toutes les graines, dont les brunes foncées.
Or justement c'est bien là que ça coince: en démocratie on punit le délit et le crime, l'antisémitisme et le négationnisme sont des délits, les amendes que le Dédé doit payer (et trouve moyen de ne pas) devraient être exigées depuis longtemps, au lieu de l'incurie qui le laisse s'en tirer, déjà ça aurait pu freiner son discours; au lieu de ça, le Valls en profite pour faire sa pub sur un sujet 'porteur'  en un instant précis et choisi (histoire qu'on parle bcp moins des accords d'échanges commerciaux européens par ex- et de se placer comme futur présidentialisable).

En ce qui concerne l'humour, le sexisme reste admis et valorisé, et on répond aux femmes, et surtout aux féministes (qui n'ont pas d'humour, c'est bien connu) qu'elles ne comprennent pas le second degré, et itou le racisme, pour ce que je vois de ces 'amuseurs'.
Je vous joins donc de la lecture.Mutatis mutandis, racisme=sexisme, vous pouvez appliquer tout ça à pas mal de champs.
L'humour est une arme
Ce n'est pas de l'humour
L'humour est une chose trop sérieuse....
.. pour être laissée à des rigolos
et sous spoiler un des article sen lien dans le premier mais qui n'est plus en ligne, écrit par un pote
Le second degré (ah ah) samedi 5 mai 2001 par Mathieu
Le "second degré", j’entends ça à longueur de journée, et ça m’agace. Ca m’agace parce que trop souvent ceux qui prétendent en faire usage n’ont pas compris de quoi il s’agit. Et encore, je laisse de côté ceux pour qui ça n’est qu’un alibi destiné à leur permettre tout et n’importe quoi.
L’erreur courante consiste à prendre pour second degré ce qu’on dit sans le penser. Par exemple, si on insulte un juif « pour rire », alors qu’on n’est pas antisémite. On va encore me dire que je prends un exemple extrême.
Exactement, je prends un exemple "extrême", parce que ce qui vaut pour une catégorie vaut pour une autre, donc pour comprendre de quelle manière fonctionne le soi-disant "second degré" sexiste, il est utile de le comparer à d’autres formes de pseudo-humour similaires.
Souvent l’erreur est de bonne foi. Peu m’importe. Je ne suis pas dans la tête des gens, je ne sais pas ce qu’ils pensent, mais je sais ce qu’ils disent lorsqu’ils le disent devant moi. Sur ce qui est dit devant moi, j’ai le droit de porter un jugement, de même qu’autrui peut juger ce que je dis.
Donc, comme point de départ je propose cette distinction entre action et intention. Ce qu’on dit ne préjuge pas de ce que l’on pense.
Mais ce qui et dit est dit, selon l’adage. Un énoncé est un acte, un acte de langage mais un acte tout de même, au même titre que publier un article ou mettre une main aux fesses.
Donc, dire quelque chose que l’on ne pense pas n’enlève rien à ce qu’on a dit. Ce décalage n’est pas, en soi, une altération du message. Par conséquent, dire une chose que l’on ne pense pas n’est pas en soi du second degré, et ne saurait l’être.
Le second degré doit donc être signalé, explicité. Il y a de nombreuses manières de s’y prendre. Mais puisqu’il s’agit d’expliciter, les formes les plus subtiles, comprises d’un cercle de proches, ne sont pas perceptibles par un public d’inconnus ou presque inconnus. Quand l’auditeur prend au premier degré des propos qui se voulaient au second, la faute peut provenir des deux côtés, et notamment de celui qui a parlé sans se tenir compte de ce que les éléments qui révélaient le second degré n’étaient pas entre compréhensibles de son auditoire.
Le second degré est délicat car il joue sur les références. Pour être efficace, en plus des ressorts habituels de l’humour (caricature, outrance, décalage, absurde...), il doit trouver le moyen de souligner que celui qui parle n’en pense pas un mot. Le ton, surtout à l’oral, doublé de l’expression du visage, peut suffire si l’on a quelque talent approprié. Alors on peut même se permettre l’antiphrase, figure de style consistant à exprimer le contraire de ce qu’on pense, sans équivoque, le plus souvent sur un mode descriptif ("quelle chaleur", alors qu’il fait moins 5 degrés, ou "manger des limaces pleines de terre, mais bien sûr j’aime ça, c’est même mon plat favori").
A l’écrit la chose devient plus délicate.
C’est pourquoi le second degré généralement le plus efficace consiste à se saisir d’un stéréotype et de le modifier, le "détourner". On montre alors aisément en quoi le stéréotype en est précisément un, une image fausse et caricaturale de la réalité. Encore faut-il qu’il soit perceptible clairement que c’est bien du stéréotype que l’on se moque, au lieu qu’on se contente de le recycler, de lui donner une nouvelle jeunesse.
Le second degré qui est perçu au premier degré est un échec, quel qu’en soit le responsable, l’auteur ou le public, l’échec est le même. Il y a échec parce que le référent n’est pas le même pour tout le monde. Plus le public est large et plus l’échec est probable. Si une tentative de second degré échoue, est perçu au premier degré, alors, tout simplement, C’EST du premier degré, ni plus ni moins.
Le second degré est un humour qui se moque de lui-même. Il contient donc une critique de ce qui en serait le premier degré. Il est bien clair que tout ce qui est admis au second degré n’est pas admissible au premier degré. Pourquoi ?
Parce que l’humour est une forme de l’expression. Une forme parmi d’autres. Humour ou pas, le message est transmis, l’acte de dire existe, ce qui est dit est dit. L’humour n’enlève rien au contenu du message. Une blague antisémite reste antisémite, une blague anti-belges reste anti-belges, une blague homophobe reste homophobe, une blague sexiste reste sexiste, une blague raciste reste une blague raciste. Répliquer "t’as pas d’humour" est souvent un faux diagnostic, qui a l’inconvénient d’esquiver toute réflexion sur le contenu de la blague incriminée.
Une blague sur les belges n’est pas nécessairement une blague anti-belges, mais elle peut très bien l’être. Une blague sur les juifs peut être antisémite, mais il y a aussi des "blagues juives", qui ne le
sont pas. Une blague sexiste n’est pas la même chose qu’une blague féministe, même si les deux prennent pour objet un sexe ou l’autre.
L’humour n’est pas un talisman, il n’est pas une excuse, il n’est pas un antidote, il est juste une manière drôle de dire quelque chose, mais de le dire tout de même, indéniablement. La différence entre une blague sexiste et une non-sexiste n’est pas que l’une serait drôle et pas l’autre, les deux sont potentiellement aussi drôles, mais l’une est acceptables et pas l’autre. Si l’on estime que le racisme est répréhensible, et donc les plaisanteries racistes, alors on doit appliquer le meme raisonnement pour ce qu’on estime condamnable. Cela inclue le sexisme.
Enfin, cessons de croire que tout peut être analysé en une seule dimension. Une plaisanterie peut être prise au premier ET au second degré, tout simplement parce que le langage est complexe, que les jeux de références le sont tout autant, et qu’on dit rarement une seule chose à la fois. Il en va de même pour la publicité.
Prenons l’exemple d’une publicité pour des vêtements pour hommes. Sous différentes variations, on voit des hommes, notamment un jeune, habillés avec cette marque, entourés de femmes en maillot, très dénudées, très maquillées, aux poitrines abondantes et particulièrement mises en évidence, et ces femmes nombreuses entourent l’homme dont visiblement elles se sont entichées. Décriée par les féministes, cette publicité a été soutenue par l’agence de publicité qui se défendait en invoquant le second degré.
Certes. mais encore ?
Il y a dans ces affiches à la fois un premier degré et un second degré. Le second degré porte sur l’attraction provoquée par les vêtements : mets ces fringues et les nanas vont tomber. Là, évidemment, c’est tellement gros que personne n’y croit, c’est une fausse naïveté et on est dans le registre du second degré.
En revanche, à l’évidence il y a une utilisation de la femme-objet au premier degré. La manière dont ces femmes, qui toutes se ressemblent, sont dévêtues et dont tout est fait pour montrer les seins est très exactement sexiste, et vise à susciter le désir du spectateur. Seule l’association fringues/tombeur peut invoquer le second degré, mais l’image du "tombeur", elle, est bel et bien utilisée au premier degré, et ces femmes sont montrées telles qu’elles sont vues par le photographe etles publicitaires, en objets sexuels. Dans ce cas, l’objectivation du corps féminin, au coeur de la culture sexiste depuis des siècles, est poussée à son comble. Les publicitaires ont sans doute cru y mettre du second degré en accentuant le côté glamour des modèles et par leur nombre élevé. Mais ce faisant ils n’ont fait que rendre plus visible le fantasme de la femme-objet, ils n’ont fait que rendre plus visibles leurs corps, leur poitrine. Faute d’avoir compris en quoi le principe d’une telle publicité est critiquable, ils ont accentué ce caractère alors même peut-être (soyons généreux) qu’ils croyaient le faire disparaître.
C’est bien pratique d’avoir une expression magique derrière laquelle se réfugier plutôt que de réfléchir à ce qu’on dit. C’est pratique, mais c’est surtout une grosse arnaque.
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stéphan lemoigne



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MessagePosté le: 13/01/2014 14:40:45    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

100% ok
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MessagePosté le: 13/01/2014 14:46:40    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Merci Stephan.
On se faisait aussi la réflexion, avec une paire de potes, qu'à cause de ce pataquès, le débat est nécessairement faussé, du simple fait qu'il suppose que désormais il faille choisir un camp, pour dire d'où l'on parle, alors même que les choses ne sont pas simples (hormis les délits dont il est question plus haut évidemment) et que les nuances, les cas d'espèce etc existent forcément.
Le bipartisme intellectuel et/ou politique n'ayant jamais aidé les démocraties- ou ce qu'il en reste- ou les cultures, je ne sais pas où l'on va, mais on y va tout droit.
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MessagePosté le: 13/01/2014 14:46:40    Sujet du message: Publicité

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stéphan lemoigne



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MessagePosté le: 13/01/2014 14:54:37    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

La sacro-sainte pensée unique bien répercutée par les média...Et quand je pense que toute ma carrière j'ai essayé de donner l'esprit critique à mes élèves. Autant pisser dans une harpe celtique finalement (humour au second degré, je précise !). Par contre, ce qui me gêne dans la loi "pas d'injures racistes ou anti-sémites", c'est justement cette distinction. Il aurait suffi de dire
"pas d'injures racistes" point à la ligne. Je pense que cette loi dénote un certain parti pris tout de même....Et puis être obligé de faire une loi dans ce sens, ça prouve quand même qu'on est dans une société vraiment tolérante et ouverte (second degré également). Ca devrait être tellement évident pour tout humain. Oui, je sais, je suis naïf et candide...
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stéphan
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MessagePosté le: 13/01/2014 15:09:41    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Ben on est deux: pourquoi préciser 'antisémitisme', dans par ex l'acronyme LICRA ça reste une question pour moi.
Est-ce parce que l'appartenance à la religion juive (qui n'est pas le 'sémitisme' à noter que les sémites sont ..plein de peuples confer Schlomo Sand..) ou au pays Israël ou à la culture associée à l'un ou l'autre, ou une ascendance qui se revendique de tout ou partie de cela, ne se voit pas sur la peau?Ou parce que l'histoire du XX) siècle a posé sur cette appartenance un signe particulier?Ou parce que celleux qui font partie de ce groupe veulent se différencier?Pour quelle raison alors?
C'est comme quand on parle d'islamophobie.La phobie n'étant pas une réflexion active et pensée, mais une peur tripale, ça ne convient pas, bien que le mot soit entré dans le langage commun sous l'acception d'un refus plus ou moins argumenté.En général moins.
J'ai rien contre ou pour l'islam, ni peur, ni amour, mais j'ai bcp contre les extrêmistes qui se revendiquent d'une lecture particulière, politique, oppressive et violente dudit, alors quel mot employer? islamisto-contre?
Itou les autres extrêmistes de religions quelles qu'elles soient, extrêmisto-christianisto ou judéo-contre?


Dernière édition par elihah le 13/01/2014 15:14:25; édité 1 fois
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stéphan lemoigne



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MessagePosté le: 13/01/2014 15:12:50    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Tout à fait d'accord. Quant à la précision "anti sémite" dans la loi, j'essaye de ne pas y voir un parti-pris des législateurs... 
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MessagePosté le: 13/01/2014 15:14:52    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

J'essaie aussi...
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francine57



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MessagePosté le: 13/01/2014 18:08:14    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Je suis ok avec vous, l'antisémitisme étant une forme de racisme , on ne devrait pas faire de distinction c'est la porte ouverte aux dérapages de D. et d'autres , D. qui dans son délire demande d'ailleurs la dissolution de la Licra suivie par plus de 130000 signataires..... Twisted Evil Evil or Very Mad

Stephan, je ne suis pas contente , tu fais de la discrimination anti lorraine qui ne comprend toujours pas le breton !! (pancarte 2° degré, quoique!!!) Razz
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MessagePosté le: 13/01/2014 18:08:14    Sujet du message: Publicité

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elihah



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MessagePosté le: 13/01/2014 18:19:27    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

oh et anti-de-n'importe-où-iste, parce que je ne comprends pas non plus :-)
(mode quarante-cinquième degré ON :-) )
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stéphan lemoigne



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MessagePosté le: 13/01/2014 21:30:43    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Pardon, ça veut dire 'quel plaisir pour nous les Bretons d'être rattachés a la France'
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stéphan
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elihah



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MessagePosté le: 13/01/2014 21:34:56    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

mmhhh... ça aussi c'est du cinquante-troisième degré? ;-D
(merci pour la traduc)
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francine57



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MessagePosté le: 13/01/2014 21:52:51    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

merci stephan parce que j'avais regardé sur un traducteur automatique de breton et ça donne cela:
"Ni un plaisir pour nous Bretons de Pays-Ch’autre grave attaché" Embarassed

c'est l'office public de la langue bretonne , ils ont du boulot pour améliorer !!!

pays-ch'autre voulant dire France !! Mr. Green
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stéphan lemoigne



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MessagePosté le: 13/01/2014 22:08:33    Sujet du message: Un pas drôle humoriste Répondre en citant

Oui, les traducteurs automatiques, c'est pas ça, surtout que le schéma de phrase du breton, c'est quand même très différent du français. Je comprends pourquoi ils ont mis "pays l'autre" pour France, ça se dit bro-C'hall (le pays des français en fait ), mais "all" tout seul, ça veut dire "autre". Et il y a les homonymes "bout", soit être, soit grave (en parlant de la voix).
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stéphan
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